mercredi 4 avril 2012

Prélude à une banqueroute totale

Pierre Jovanovic : le plus grand hold-up de tous les temps, prélude à une banqueroute universelle



Le montant des intérêts sur la dette, par l’effet cumulatif, est en euros constants presqu’égal au montant du capital de la dette.

Si l’Etat avait financé depuis 1979 sa dette à taux zéro (par exemple auprès de la Banque centrale), le montant de la dette n’aurait été que de 164 milliards d’euros en 2009 au lieu de 1489 milliards !

Même si cela avait engendré une création monétaire générant de l’inflation et une dévaluation de la monnaie, renchérissant les importations, notamment de pétrole, de gaz et autres matières premières. Notons que cette hypothèse n’est pas possible depuis la loi Pompidou (1973) interdisant la monétisation de la dette et dans le contexte de l’euro, le traité européen l’interdisant également.

http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/dette-publique-une-bombe-explosive-113965



Le dictateur

Avec la musique c'est puissant.

Fantome sur une photo de mariage

Dans une auberge de Caroline du nord :



Source : http://paranormalgrandeetoile.over-blog.com

mardi 3 avril 2012

Baalbek

Le hommes de ces époques forcent l'admiration. Cependant on voit ce qu'il reste de tous ces efforts. Combien d'esclaves ? Combien de souffrances pour un résultat zéro ? Perte de temps pour quelques souverains aujourd'hui disparus.


Baalbek, le gigantisme au service des dieux (1... par rapharaons


Baalbek, le gigantisme au service des dieux (2... par rapharaons

Newton


Dossiers secrets - Isaac Newton par LPDE

lundi 2 avril 2012

Mu


Mu, le continent perdu par LPDE

Bardo du devenir et bardo du dharmata


Le processus hallucinatoire qui nous fait expérimenter l'illusion du bardo n'est pas différent de celui qui nous fait percevoir l'univers tel qu'il nous apparaît ordinairement, cette perception étant elle aussi tout à fait illusoire. Quoiqu'il en soit, notre perception de l'univers nous semble extrêmement réelle, solide, du fait des tendances inconscientes qui habituent notre esprit à appréhender comme réel ce qui est irréel, comme permanent ce qui est impermanent, comme plaisir ce qui est en réalité souffrance... Ces mêmes tendances inconscientes continuent après la mort à conditionner ce processus de création d'illusions qu'est la traversée du bardo.

Selon le livre des morts tibétains et la tradition Dzogchen, après la mort il y a deux étapes. Seuls ceux qui seront capables de s'éveiller dans le bardo du Dharmata sans prendre peur des visions pourront échapper à la réincarnation dans un nouveau corps (qui peut même être celui d'un animal !).

Si le défunt comprend que ces visions sont ses propres créations, il fusionne avec elles et se libère. Il se dissous dans la non-dualité et devient un bouddha.
http://jacques.prevost.free.fr

Il se dissous ou il devient quelque chose de nouveau ?

J'avais décrit une expérience de sortie du corps dans laquelle je n'ai pas eu l'impression d'avoir véritablement la capacité de réaliser concrètement ce qui se passait. J'étais spectateur. Il y avait du raisonnement puisque je pouvais savoir que c'était moi en dessous. Mais c'était un état assez passif. C'est ce qui m'a semblé. C'est très flippant ces histoires de Bardo car ça signifie que les ennuis continuent après la mort. Donc l'éveil est bien quelque chose de très important (beaucoup + que l'aspect mondain qu'on lui donne souvent). Pour les Bouddhistes il s'agit de faire cesser le cauchemar des réincarnations.

Au lieu d'être une démarche consciente, pour un être ordinaire le passage d'une existence à une autre est un processus totalement incontrôlé, semblable à un cauchemar, un état hallucinatoire.

Pour illustrer la dimension illusoire et trompeuse de ce qui est expérimenté dans le bardo au moment d'entrer dans une nouvelle existence, nous citerons une anecdote extraite de la biographie de Drugpa Künley, grand yogi tibétain. Cet être totalement éveillé adoptait un aspect et une conduite extérieure plutôt choquants et pouvant prêter à confusion : il était volontairement non-conformiste et se moquait des institutions et des gens en place, afin de permettre à chacun de secouer routines et habitudes et de prendre conscience de ses propres erreurs.

Un jour, donc, il vit un jeune âne près d'un monastère et, s'adressant aux moines, il leur dit : « Vous croyez que c'est un petit âne, mais en fait c'est votre abbé, celui qui est mort il n'y a pas si longtemps, et savez-vous ce qui lui est arrivé ? Eh bien, dans le bardo, il a cru entrer dans un magnifique palais de cristal alors qu'en fait il entrait dans la matrice de l'ânesse ! »

Description des Bardos

(Il y a une petite flèche en bas pour aller à la suite du texte.)