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mardi 14 novembre 2017

vendredi 13 juin 2014

Philippe Cornu : bardos et états de conscience

Un sujet très bien traité : celui des états de conscience dans le bouddhisme (ou pré bouddhiste - chamane, Dzogchen, Bön).

Il n'en reste pas moins une question fondamentale : qu'est ce que notre sentiment d'identité ?

On dira que c'est probablement un sentiment de consensus produit par le corps énergétique/matériel qui crée artificiellement une illusion de "patron" dans la boite (l'ensemble des tous les organes).

Le "patron" illusoire finit par croire en sa propre réalité et finit par survivre psychiquement pendant un certain temps (de la même manière que nous existons dans notre rêve).

Il peut selon le bouddhisme se réincarner (ce désir d'exister, ou croire exister) en d'autres "êtres".

L'éveil c'est déjà avoir osé soulever ces problématiques. Poser clairement le sujet de notre identité. De là découlent naturellement des illuminations.


Sagesses Bouddhistes - étude du Bardo Thödröl... par vchristophe


Sagesses Bouddhistes - étude du Bardo Thödröl... par vchristophe

jeudi 1 mai 2014

Qui sommes-nous ?

"Je vous propose ce voyage, de la périphérie de notre être vers le centre, de nos apparences vers la réalité, de nos masques vers ce qui est libre de tout masque, de nos conditionnements vers ce qui est non-conditionné. Que trouvons-nous au centre de nous-même? Grâce aux exercices d'attention de Douglas Harding, il est possible de plonger directement ici, et de s'éveiller à ce qui voit."
José Le Roy

Qui sommes-nous ? Skype et atelier ce soir premier MAI

lundi 24 mars 2014

Non dualité (un texte simple)

Bodhasara: An Eighteenth Century Sanskrit Treasure by Narahari Swami Dayananda Saraswati (Préface), Narahari (Auteur), Kanchan Mande (Avec la contribution de), Jennifer Cover (Traduction), Grahame Cover (Traduction) 

(Traduction du descriptif de l'ouvrage automatiquement dans Google traqduction => mais c'est assez clair) 

Bodhasara par Narahari est un bel exemple de la littérature de sagesse animé par l'esprit de la Renaissance évident en Inde au cours de la pré-coloniale du XVIIIe siècle. Tout en respectant les principes antiques de Vedic, tantrique et traditions yogiques, Narahari parle d'une voix moderne, plein de confiance et d'intelligence. Bodhasara est un trésor sanskrit et un bel exemple de la puissance de cette langue. L'objectif de Narahari est de transmettre l'expérience de Jivanmukti, libération tout en vivant. Longue tenue trop insaisissable pour les mots pour décrire, Narahari emploie une commande puissante et poétique du sanskrit pour atteindre son but. Bodhasara est motivée et poétique, appris et irrévérencieux, sarcastique et ludique, réfléchi et plein d'humour. Évitant l'enseignement didactique, Narahari vous montre le monde à travers ses yeux, par l'intermédiaire de fils entremêlés de compréhension personnelle et l'imagerie poétique. Il est courageux sur le rejet adhésion inutile de former et jamais confiants dans la pureté naturelle de l'existence. En Bodhasara vous ne trouverez pas un nouvel enseignement sur ​​Jivanmukti. Mais lisez l'ensemble des travaux et vous pouvez trouver Narahari vous a pris par la main et vous conduit à son bord très. Ce livre contient le texte source sanskrit par Narahari à la fois Devanagiri et son romains, avec la traduction en anglais. Voir le site du bodhasara.com pour plus d'informations et des idées www.bodhasara.com

A LIRE ICI UN TEXTE TRES INSPIRANT

jeudi 13 février 2014

Franck Terraux au sujet de l'éveil spirituel

L'éveil pour les paresseux.

Ici en vidéo sur Radio ici et maintenant

A mettre directement en relation avec la vision sans tête ici

vendredi 15 novembre 2013

Exercice de poésie N°2 proposé par François Matton

Vers le monde ou / et vers la conscience transparence


mercredi 7 août 2013

mercredi 27 mars 2013

Qui suis-je? - Principe général du dzogchen


Le problème que nous essayons de résoudre dans tout le dharma et en particulier dans le dzogchen est un problème de localisation.

Quelle est la nature du lieu d’être? D’une manière générale, nous avons l’impression que « j’habite ici. Je suis dans mon corps.

Mon corps est ici dans cette pièce. » Et quelle est la situation de ce lieu? De quoi est-il construit?

S’il n’a pas de construction solide, alors les notions de « je » sur lesquelles nous nous reposons et toutes les actions qui viennent de là seront peu fiables.

Il y a de nombreux exercices en lien avec cela, mais la première chose est d’enquêter sur notre nature. Dans le dzogchen, nous sommes toujours en train d’essayer de nous observer.

Maintenant, s’observer soi-même peut paraître facile.

Linguistiquement, cela semble plutôt simple. Comme: « Observe-toi, observe tes pieds. » Et donc si nous voulons observer nos pieds, ce n’est pas difficile. Nous baissons le regard et les voici. Mais si vous voulez vous observer vous-mêmes, vous devez tout d’abord vous trouver afin d’observer. Ainsi, pour nous trouver nous devons chercher, et si nous nous mettons à chercher, que cherchons-nous?

Si nous admettons que nous n’avons jamais vu notre propre visage, alors ce que nous cherchons est simplement une construction de représentations, et nous pouvons donc nous retrouver en train de courir après nos suppositions, puis de les réaliser. Nous avons l’habitude d’observer les choses. Et si nous nous observons nous-mêmes de la manière dont nous observons les choses, il ne fait aucun doute que nous nous présenterons à nous-mêmes comme une chose, parce que c’est ce que nous faisons depuis le commencement même du samsâra. C’est cela, le samsâra.

Ainsi, ce que nous devons vraiment faire, c’est développer une nouvelle forme d’observation de soi, une forme qui ressemble plus au fait de frayer avec nous-mêmes. Soyez simplement là tandis que vous vous « moi-ifiez », en observant ce processus de « moi-ification ». Parce que si ce n’est pas vous qui vous «moi-ifiez », qui donc le fait? Dans le dzogchen, on appelle cela « rester avec celui qui fait ce qui se passe- quoi que ce soit ».

Si des pensées surviennent, restez avec celui qui pense les pensées qui surviennent. Si des émotions surviennent, restez avec celui qui éprouve les émotions. Si aucune pensée et aucune émotion n’émerge, restez avec celui qui est complètement engourdi et stupide. Parce que celui qui accomplit cette activité existe quelque part. Où existe-t-il? En observant attentivement, vous parviendrez à voir le « je » venir à l’existence. Mais si vous n’observez pas attentivement, ce point de manifestation de celui qui fait se présentera toujours comme s’il était le site éternel du « je » : « Je suis moi ! » Et ma saisie de ce « je » ferme la porte de la libération.

Le problème essentiel est que, depuis le début, l’esprit est ouvert, très détendu, non-né, incréé, et que cependant l’expérience de l’esprit est : « Je suis moi. Je ne suis pas vous. Laissez-moi tranquille. Donnez-moi ce que je veux! » Depuis le tout début, nous ne savons pas qui nous sommes. Le fait de penser « je suis moi » signifie que je n’ai pas réalisé qui je suis. Le «moi » est le point objectivé, raffiné, du « je », qui apparaît comme le curseur sur un écran d’ordinateur, la petite flèche, la pensée qui vous montre où vous êtes et, comme ce petit point sur l’ordinateur, il n’est pas quelque part, il n’a pas d’existence réelle. Il est sur l’écran. L’écran n’est pas quelque part. Il est semblable à du cristal liquide, une matrice de points qui révèle le royaume illusoire du cyberespace.

Ou dans un exemple traditionnel : si vous regardez le ciel et que vous voyez un oiseau qui vole, vous voyez la pointe du bec de l’oiseau. Mais où est cette pointe? L’oiseau se déplace dans le ciel. Il n’y laisse pas de trace, et vous ne pouvez saisir le point où il se trouve, parce qu’il se déplace toujours. Ce que nous appelons : « Oh, il y a un oiseau qui vole dans le ciel ! » est unmouvement. Nous construisons la notion d’oiseau. Ce que nous observons est unmouvement.

De la même façon, la nature de l’esprit est d’être très créative.

Pensées, émotions, sensations surgissent continuellement et nous leur attribuons des positions et des lieux, nous les juxtaposons les unes sur les autres, et par cela nous créons l’illusion de la séparation soi-autre. Bien que nous puissions dire, de manière générale, que le samsâra a débuté il y a très longtemps, si vous voulez vraiment voir le point d’émergence du samsâra, regardez dans votre propre esprit !

Et le point où le samsâra émerge est le point où personne n’est conscient de celui qui fait, pense, ressent, éprouve. Qui fait cela? Je pourrais dire: « Qui parlemaintenant? Je parle! Et c’est très simple. C’est moi ! » Je sais que je parle parce que j’aime parler. J’ai donc assez parlé pour connaître le son de ma voix lorsqu’elle sort et qu’elle entre ici dans mon oreille.

Mais il serait beaucoupmieux pourmoi de ne pas savoir qui je suis ! Parce qu’en sachant qui je suis, je deviens très paresseux et je présume que qui je pense être est qui je suis. Et ainsi, j’arrête d’observer. Et de cette façon, je passe ma vie à être un ami du samsâra.

Alors, qui fait cela? Personne ne peut me le dire, parce que faire cela est une expérience, ce n’est pas une entité. S’il ne s’agissait que de découvrir le coupable, on pourraitmener une enquête.Mais avec ce genre d’investigation, le coupable n’existe pas. On a donc besoin d’un autre type d’investigation, qui ne ressemble pas à une enquête policière. C’est une investigation amicale! Parce que si vous pouvez vous lier d’amitié avec vous-mêmes, vous embrasser et vous faire des chatouilles, vous pouvez commencer à vous détendre.

Et si vous savez très bien le faire, vous pouvez « faire l’amour » avec vous-mêmes et vous vous dissolvez complètement, et vous ne vous causez plus aucun problème. C’est le principe général du dzogchen, et ce plaisir, cette détente, ce lâcher prise, cette aise, cette confiance, cette spontanéité, ces qualités délicieuses sont la voie.

mardi 5 mars 2013

L'identité ?

Une très bonne vidéo à garder dans ses classeurs.
Beaucoup de pistes.


Qu'est ce qui définit notre identité?[voyage... par grandeetoile

Eventuellement regarder aussi ce passage radio sur "Radio Ici et Maintenant" avec Wayne Liquorman au sujet de la non-séparabilité ou non-dualité en rapport à la fausse impression de division.

http://rim951.fr/?p=2394

jeudi 10 janvier 2013

Wolter Keers : le Moi et les pommes de terre



Pour répondre à votre question : « Pourquoi la force qui possède la mémoire vit-elle en moi ? », je dirai : vous prenez sans cesse des images et des mots, qui sont produits par la mémoire, pour vous-même.

Mais, servons-nous d’un exemple : si, après vous avoir nommé cinq sortes de pommes de terre, je vous demande : « laquelle de ces espèces préférez-vous ? »

 Réfléchissez… où est passée cette image de vous ? Partie, et elle est remplacée maintenant par des pommes de terre imaginaires !

Cette petite expérience prouve que vous n’êtes pas cette idée fictive de vous-même ; si vous l’étiez, vous la seriez toujours, 24 heures sur 24 — 365 jours par an !

 Nous venons d’apprendre que nous sommes un concept ; de découvrir (voilà un merveilleux mot, en français comme en hollandais : découvert, « enlever le couvercle ») ce que nous sommes vraiment et à partir de ce moment l’on pourra toujours vous raconter que vous êtes l’homme le plus intelligent, le plus beau ou, au contraire, un horrible individu, il n’y aura plus qu’un peu d’air passant d’ici à là, rien de moins, rien de plus.

 Source et texte entier : ICI

mercredi 25 juillet 2012

Boudhisme Bön du Tibet et VST

A mettre directement en parallèle avec "la Vision sans tête" bien entendu. En + il est très drôle ce qui ne gâte rien :-)












http://www.youtube.com/user/LigminchaFrance