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samedi 12 janvier 2019

Expérience de mort imminente intégrale

Bref passage pour poster ce beau témoignage de NDE que je ne connaissais pas :

dimanche 8 octobre 2017

NDE de Frédéric MEDINA

Le témoignage d'une personne simple et humble au sujet de son expérience aux frontières de la mort.

vendredi 13 mai 2016

lundi 8 février 2016

NDE

jeudi 10 juillet 2014

Expérience de Charles Lindhberg lors de la traversée


Charles Lindbergh, aviateur et écrivain, raconta un voyage qu'il fit hors de son corps :

«C’est en 1927 que Charles Lindbergh effectuait la première traversée de l’Atlantique en avion.

Dans le récit de son aventure qui a pour titre le nom de l’appareil à bord duquel il a réussi son exploit –The Spirit of St.-Louis–, il décrit l’expérience de sa traversée qui a duré 34 heures. Il rapporte d’abord qu’il n’a pas dormi durant les 24 heures précédant le décollage.

Ce détail est important. On sait que l’épuisement de la résistance physique peut favoriser et parfois même provoquer une expérience de l’astral. Peu après le décollage, Lindbergh observe une étrange dissociation entre son corps et son esprit, qu’il avait jusque-là considérés comme inséparables.

Vaincu par la fatigue, il commence à s’assoupir. Il s’efforce de résister, mais déjà le sommeil l’envahit, ce qui signifie pour lui une mort certaine. Cependant, en même temps qu’il s’endort, il se rend compte qu’une partie de lui-même reste alerte. Tout se passe, en effet, comme si son corps était endormi mais que son esprit veillait. La traversée se poursuit...

Après un moment, vers le milieu de la traversée, le pilote réalise que son esprit commence lui aussi à s’assoupir. Avec l’énergie du désespoir, il s’efforce de le maintenir éveillé. Mais rien à faire.

Cet esprit à part semble l’abandonner. Lindbergh est sur le point de s’endormir tout à fait. Mais au moment où il va perdre conscience, le voilà tout à coup parfaitement lucide, ne ressentant plus aucune fatigue, et cette fois, complètement en dehors de son corps.

Et c’est cette conscience qui maintenant dirige le vol. Il découvre autour de lui des présences de forme humaine, transparentes et légères, qui l’accompagnent dans son périple. C’est comme si elles lui étaient déjà familières dans une autre dimension. Il peut les voir toutes, même celles qui sont derrière lui et sans se retourner, car son esprit est devenu "comme un grand œil qui voit partout à la fois", c’est-à-dire là où il dirige son attention.

Ces présences apparaissent et disparaissent, traversant la matière avec aisance. Le pilote entend aussi des voix, qui lui semblent également familières. Ces voix l’encouragent, le conseillent et lui communiquent même certaines informations auxquelles il ne pourrait avoir accès en temps normal. Lindbergh s’interroge. Quel lien y a-t-il entre ces présences et lui-même?

Il lui semble qu’il participe à un rassemblement amical après des années de séparation: "C’est comme si j’avais connu ces êtres dans quelque ancienne incarnation. "Lorsque le vol exige une manœuvre, le pilote reprend contact avec la réalité, pour aussitôt après se retrouver dans l’autre dimension.

Il a l’impression de se situer quelque part dans une zone intermédiaire, entre la vie matérielle et l’au-delà, ou encore" dans un champ magnétique entre deux planètes, et propulsé par des forces que je ne peux contrôler, incomparablement plus puissantes que tout ce que j’ai connu". Il se demande s’il n’est pas mort, ou sur le point de l’être. La mort a cessé de lui paraître redoutable: elle a cessé d’être pour lui un terme final.»

(D'après: CROOKALL Robert. Case-Book of Astral Projections.)

Source : http://cdavid.ts.free.fr/Le_voyage_astral.pdf 

(également cité ou presque dans "Le voyage Astral" de Jérome Bourgine)

mercredi 11 juin 2014

mardi 26 novembre 2013

OBE : film d'animation


Waking-Life vostfr part 1 by dwen collard p from Dwen Collard on Vimeo.

mercredi 13 novembre 2013

NDE de l’évêque saint Sauve en 500

Une fois attaqué d’une violente fièvre, il gisait privé de respiration sur son lit, voilà que soudainement la cellule, éclairée d’une grande lumière, fut ébranlée. Sauve ayant levé les mains aux cieux en forme d’actions de grâces, rendit l’âme.

Les moines mêlant leurs gémissements à ceux de la mère de leur abbé, emportent le corps du mort, le lavent dans l’eau, le couvrent de vêtements, le placent dans un cercueil, et passent la nuit à gémir et à chanter des psaumes.

Le lendemain matin, la cérémonie des obsèques étant préparée le corps commença à s’agiter dans le cercueil, et voilà qu’au grand effroi des méchants, Sauve, comme sortant d’un profond sommeil, se leva, ouvrit les yeux, et, les mains élevées, dit : Ô Seigneur miséricordieux ! pourquoi m’as-tu fait revenir dans ce lieu ténébreux de l’habitation du monde, lorsque ta miséricorde dans le ciel m’était meilleure que la vie de ce siècle pervers ?

Comme tous restaient stupéfaits, lui demandant ce que c’était qu’un tel prodige, il ne leur répondit rien. Étant sorti du cercueil, et ne sentant plus du tout le mal dont il avait souffert auparavant, il resta trois jours sans boire ni manger.

Le troisième jour, ayant rassemblé les moines et sa mère, il leur dit : Écoutez, mes très chers frères, et sachez que tout ce que vous voyez dans ce monde n’est rien ; mais, selon la parole du prophète Salomon, tout est vanité [Eccl., 1, 2]. Heureux celui qui mène sur la terre une conduite qui lui fisse mériter de voir la gloire de Dieu au ciel !

Après ces mots, il hésita pour savoir s’il en dirait davantage ou s’il garderait le silence. Comme il se taisait, tourmenté par les prières de ses frères pour qu’il leur expliquât ce qu’il avait vu, il dit donc : Lorsqu’il y a quatre jours vous m’avez vu mort dans ma cellule ébranlée, je fus emporté et enlevé au ciel par des anges , de sorte qu’il me semblait que j’avais sous les pieds, non seulement cette terre fangeuse, mais aussi le soleil et la lune, les nuages et les astres ; on m’introduisit ensuite par une porte plus brillante que ce jour dans une demeure remplie d’une lumière ineffable et d’une étendue inexprimable, dont tout le pavé était resplendissant d’or et d’argent ; elle était obstruée d’une si grande multitude de différents sexes, que, ni en longueur, ni en largeur, les regards ne pouvaient traverser la foule.

Quand les anges qui nous précédaient nous eurent frayé un chemin parmi les rangs serrés, nous arrivâmes a un endroit que nous avions déjà considéré de loin et sur lequel était suspendu un nuage plus lumineux que toute lumière ; on n’y pouvait distinguer ni le soleil, ni la lune , ni aucune étoile, et il brillait par sa propre clarté beaucoup plus que tous les astres ; de la nue sortait une voix semblable à la voix des grandes eaux.

Moi, pauvre pécheur, j’étais salué humblement par des hommes en habits sacerdotaux et séculiers, et qui étaient, comme me l’apprirent ceux qui me précédaient, des martyrs et des confesseurs que nous adorons ici-bas avec le plus profond respect.

M’étant placé dans l’endroit qu’on m’indiqua, je fus inondé d’un parfum d’une douceur excessive, qui me nourrit tellement que je n’ai encore ni faim ni soif. J’entendis une voix qui disait : Qu’il retourne sur la terre, car il est nécessaire à nos Églises.

J’entendais une voix, car on ne pouvait voir celui qui parlait. M’étant prosterné sur le pavé, je disais en gémissant : Hélas ! hélas ! Seigneur, pourquoi m’as-tu fait connaître ces choses si je devais en être privé ? Voilà qu’aujourd’hui je suis rejeté de devant ta face pour retourner dans un monde fragile, et ne pouvoir plus revenir ici.

Je t’en conjure, Seigneur, ne détourne pas de moi ta miséricorde ; je te supplie de me laisser habiter ce lieu, de peur qu’après en être sorti je ne périsse ; et la voix qui m’avait parlé dit : Vas en paix, car je suis ton gardien jusqu’à ce que je te reconduise ici. Ayant donc laissé mes compagnons, je descendis en pleurant, et sortis par la porte par où j’étais entré.

A ce discours tous restèrent stupéfaits, et le saint de Dieu recommença à dire avec larmes : Malheur à moi qui ai osé révéler un tel mystère ! Voilà que le doux parfum dont j’avais été embaumé dans le lieu saint, et qui m’a soutenu pendant trois jours sans boire ni manger, s’est éloigné de moi.

Ma langue est couverte de blessures déchirantes, et si enflée qu’elle me semble remplir toute ma bouche ; et je sais que j’ai déplu à Dieu mon Seigneur en divulguant ces secrets.

Mais, Seigneur, tu sais que je l’ai fait dans la simplicité de mon coeur, et non dans l’orgueil de mon esprit. Je te prie donc de me pardonner, et de ne pas m’abandonner selon ta promesse. Il dit et se tut ; puis il pria, mangea et but.

En écrivant ceci, je crains que quelque lecteur ne le trouve incroyable, selon ce qu’a écrit Salluste [Catilina, III] dans son histoire : Quand on rappelle la vertu et la gloire des grands hommes ; chacun accueille sans peine ce qu’il croit pouvoir faire lui-même aisément ; mais il regarde comme faux ce qui lui parait au dessus de ses forces.

J’atteste le Dieu tout-puissant que j’ai entendu dire de la propre bouche de saint Sauve ce que je raconte ici.

 http://remacle.org/bloodwolf/historiens/gregoire/francs7.htm

NDE témoignage inédit

jeudi 31 octobre 2013

mardi 29 octobre 2013

mercredi 9 octobre 2013

Très belle NDE

mercredi 28 août 2013

dimanche 4 août 2013